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DYLAN IACOVELLI

[…]
« Il faut le découvrir, le déchiffrer, le comprendre. Sans texte, zéro, le nombre parfait. Mais il y a tout de même les images, qui elles, vous permettent de rebondir, comme une balle dans un labyrinthe. La seule chose à savoir, c’est que c’est là. »
Réalisé dans le cadre du projet Bildsprache 2018
Bienne, février 2018
































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